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Fanfiction Castle
Fanfiction Castle
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8 mars 2015

Coucou ! Voilà la suite...Avec du Caskett !!

Coucou ! Voilà la suite...Avec du Caskett !! J'espère que ça vous plaira

Chapitre 5

Beckett, allongée dans son lit, attendait l'arrivée de Roxane. Elle tapotait impatiemment le matalas du bout de ses doigts. Finalement, elle jta un coup d'oeil agacé au réveil et avança son fauteuil roulant. Elle réussti aux prix de maint effort à y prendre place et partit directement en direction de la salle de bain. Elle parvint à se glisser dans l'eau chaude du bain qu'elle se fi couler et soupira de soulagement. Elle sourit en remarquant ce qu'elle avait réussi à faire seule. Finalement, le départ de Josh n'était pas une mauvaise chose... Elle inspira pronfondémment l'odeur de cerise qui régnait dans la salle de bain. Son sourire s'élargit. Elle entreprit alors de se frotter doucement. Le lieutenant Beckette avait toujour adoré les bains. Depuis sa tendre enfance il s'agissait pour elle d'un moment de bien être qui avait une place à part dans le déroulement de la journée. Mais ce qu'elle préférait encore, c'était dévorer ses romans faoris dans l'eau revigorante et ordorante. Après de longue minute passés à se prélasser paresseusement dans son bain, la jeune femme entreprit de se redresser pour gagner son fauteuil. Dès qu'elle peit apuis sur ses bras, une douleur lancinante lui transperça le bas de dos. Elle gémit et se laissa retomber dans l'eau. Le liquide transparent coulait doucement et le niveau baissait. Kate ferma les yeux un instant. Elle avait oublié de prendre les pillules que Roxane avait déposé la veille sur sa table de nuit. La douleur allait en sintensifiant. Elle serra les dents et tenta une nouvelle fois la manoeuvre. La douleur la terressa. La respiration de Kate était de plus en plus irrégulière. Elle se mordit violemment la lèvre inférieur et tendit la main vers la petite table près du bain. Encore un petit effort... Un long gémissement accompagna le mouvement désespéré de la jeune femme. Enfin, ses doigts entrèrent en contact avec le petit objet technologique. Elle composa en respirant difficilemment le premier numéro qui lui passa ar l'esprit. Elle entendit sonner. La douleur lui coupe subitement le souffle et les larmes aux yeux elle se força à expirer lentement. 

- Allô ? 

Elle n'arrivait pas à articuler le moindre son. Et ce portable n'était pas le sien mais celui que Roxane lui avait laissé en cas de problème. 

- Allô, s'agaça son interlocuteur. 

Un râle s'échappa d'entre ses lèvres et elle réussit à prononcer quelques mots. 

- Castle, gémit-elle d'une voix affaiblie. 

Au son de cette voix désespérée, l'écrivain bondit et attrapa sa veste. 

- J'arrive, Kate, hurla-t-il en s précipitant vers la porte. 

Sa mère et sa fille, inquiètes, lui jetèrent un regard interloquée. Il leur fit signe qu'il leur expliquerit er quitta le loft en claquant la porte. L'homme dévala les escaliers et courut de toutes ses forces vers l'appartement de Josh où l'élue de son coeur résidait depuis l'accident. Son coeur battait extrêmement fort dans sa poitrine et son esprit tournait à plein régime. Les scénarii les plus effrayants se frayaient un passage jusqu'à son esprit et jusque dans son coeur. L'écrivain accéléra encore. Il grimpa les marches quatre à quatre, incapable d'attendre l'ascenseur. Il ouvrit la porte violemment et sans prendre le temps de la refermer, il hurla le nom de la jeune femme. Seul le silence lui répondit. Son regard effrayé parcourut la pièce à un rythme effréné. Des plaintes assourdies parvinrent bientôt à ses oreilles. Castle se précipita dans cette direction et entra dans la salle de bain. La main de Kate agrippait violemment le bord de la baignoire. Les gémissements étaient ici, beaucoup plus audibles. A la vue du corps de la jeune femme, Castle se sentit gêné. Il ne voulait pas la mettre mal à l'aise dans un entrevue ultérieure et saisit une serviette éponge. Il prit ensuite le lieutenant dans ses bras. La jeune femme passa instinctivement ses bras autour de son cou et y enfouit son visage. Castle se dirigea vers la chambre à coucher l'allongea avec tendresse dans le grand lit. Il rabattit doucement les couvertures sur le corps tremblant de la jeune femme. Les doigts de Katherine s'agrippèrent à sa chemise. Il les détacha un à un en lui chuchotant des phrases de réconfort. Le lieutenant pleurait e douleur et chaque larme  déchirait le doeur de l'écrivain assis à ses côtés. Il lui caressa les cheveux d'un geste tendre. La souffrance qu'il lisait sur les trait déformés fu visage de sa bien-aimé provoquait en lui les dégât d'un tsunami. Il déposa un baiser sur le front humide de Kate et lui chuchota d'autres phrases qu'il espérait réconfortantes. Petit à petit, les gémissements s'espacèrent pour complètement disparaître. La respiration saccadée de la jeune femme s'aipaisa et les larmes cassèrent de sillonner les joues du lieutenant Beckett. Cette dernière, les yeux fermés, respira profondemment. La crise était passé. Castle continua néanmoins de la rassurer en lui caressant la joue du bout des doigts. La jeune accidentée se détendit au contact des doigts de l'écrivain sur sa peau. C'est à ce moment que l'aide-soignate fit son entrée. Castle leva brusquement la tête. La nouvelle venue les regarda, étonnée et suspicieuse. Kate tourna doucement la tête vers la porte où se tenait toujours la jeune femme. Elle lui adressa un pâle sourire. L'aide-soignate pénétra dans la pièce en demandant des explications. 

- Vous êtes en retard, asséna Castle d'un air furibond. 

Kate ferma les yeux en grimaçant alors que la jeune blonde regardait sa montre. 

- Pas du tout, répondit-elle après un moment de réflexion. Je suis même en avance. 

Ce fut au tour de l'écrivain de garder le silence. Il jeta ensuite un regard énéervé sur le lieutenant Beckett. Encore une fois, elle en avait fait qu'à sa tête. Mais en se souvenant de l'état dans lequel il l'avait trouvé, il renonça au sermon, estimant qu'elle avait été assez punie. Il changea alors de sujet. 

- Où est Josh, demanda-t-il en pensant qu'il n l'avait pas encore vu. 

- Parti en mission humanitaire au Bengladesh, déclara Roxane en ouvrant les rideaux d'un coup sec. 

Castle réagit instantanément à cette révélation. Son exclamation indigné résonna dans la chambre. L'écrivain ne pouvait pas concevoir qu'un homme, un chirurgien de surcroît, laissa sa petite-amie seule dans un moment pareil. Comment un homme ne pouvait-il pas voir qu'il y avait autant de gens à sauver ici que dans les pays pauvre ? S"il voulait sauver quelqu'un, il auraut mieux fait de venir en aide à sa petite amie. Castle allait laisser sa colère éclater lorsque la main de Kate se posa sur son avant-bras. 

- Tout va bien, Castle, mumura-t-elle. Je suis capable de me débrouiller seule. 

- Oui, ça vous venait de le prouver, grommela-t-il, reportant, bien malgrès lui, sa rancoeur sur la jeune femme. 

Cette dernière retrira sa main et détourna la tête, refusant de croiser une nouvelle fois le regard furibon de son acolyte. Castle devina, avec raison, qu'il venait de la blesser. Il se maudit intérieurement. Mais qu'est-ce qui lui avait pris de dire une chose pareille? Roxane remarqua la tension qui régnait dans la pièce. 

- Alors, que voulez-vous mettre, aujourd'hui, s'exclama-t-elle avec entrain comme si elle n'avait rien entendu de leur échange précédent. 

Kate leva les yeux vers la blondinette. Elle n'en avait cure mais fit mine de réfléchir intensémment. Castle comprit le message silencieux qu'on lui adressait et quitta la pièce. Il se laissa tomber dans le canapé et se prit la tête entre les mains. Il regrettait déjà son observation malheureuse. Il décida donc d'attendre sa muse dans le salon afin e lui présenter ses excuses. L'attente lui parut interminable et il en profita pour faire une petite excursion dans l'appartement de son rival. Il ouvrit un placard au hasard et tomba sur du café moulu. Un petit sourire apparut sur les lèvres de l'écrivain. Il avait un idée qui devrait rendre le sourire à la jeune femme qu'il attendait. Lorsque Kate passa la porte de la chambre, assise dans son fautueil, il lui sourit. Elle partu étonnée de la trouver ici mais garda le silence. Castle saisit la tasse de café qu'il avait préparé et s'avança vers elle. 

- Le café de madame est servi, s'exclama-t-il sur un ton formel tout en lui adressant un clin d'oeil fugace. 

Lorsque les doigts de Kate entrèrent en contact avec la céramique chauffée par le liquide chaude, un sourire se dessina timidement sur le visage morose de la jeune femme. Elle le remercia avant de porter le breuvage aner à ses lèvres. Kate savoura sa première gorgée. La jeune femme leva les yeux vers l'écrivain qu'elle appréciait tant. 

- Je suis désolé, Kate, murmura-t-il. 

Le visage de son interlocutrice perdit le sourire qu'elle avait si difficilement retrouvé. Castle comprit qu'il n'était pas encore pardonné. 

- Mes mots ont dépassés ma pensées, Kate, je...

- Je vous remercie pour vore aide, Castle, le coupa-t-elle sans oser le regarder. 

L'écrivain, interloqué, garda un moment le silence. Il prit quelques minutes pour comprendre que par ces mots, Kate venait de le congédier. Son coeur se serra lorsque son esprit assimila la nouvelle. Il passa maladroitement sa main sur ses joues rasées de près avant de saisir son manteau. 

- Au revoir, Kate, chuchota-t-il en l'embrassant sur le haut du crâne. 

La jeune femme se laissa faire sans rien dire et le suivit des yeux jusqu'à ce que la porte d'entrée l'arrache de sa vue. Castle resta un moment immobile devant la porte de l'appartemment. Il plongea fatalement les mains dans les poches de son jean et entreprit de descendre les escaliers. Le rythme n'avait rien à voir avec celui de l'allée. L'écrivain avançait doucement , ruminant sa peine dans son esprit et dans son coeur. 

- Castle, cria soudain quelqu'un derrière lui. 

L'homme se retourna vers la jeune femme le surplombant. Roxane dévala les escaliers pour le rejoindre sur le pallié. Elle lui sourit. 

- Ne l'abandonnez pas, je vous en prie, s'exclama-t-elle. 

Castle ne répondit rien. Que pouvait-il faire de plus maintenant ? 

- Elle essaye d'être forte mais elle s'effondre. Ne la laissez pas tomber ! 

Elle se rapprocha de l'écrivain. 

- Rattrapez-là avant que ça ne soit trop tard, le supplia-t-elle. 

Castle secoua la tête. Il ne pouvait pas l'aider si elle ne le voulait pas. Il tourna les talons et reprit sa lente descente aux enfer. Roxane, bras ballants, le contempla avec désespoir. C'était une jeune femme qui prenait son boulot très au sérieux. Elle s'occupait du corps mais aussi de l'esprit de ses patients. 

- Vous êtes la seule personne qui puisse l'aider, lui cria-t-elle, désemparée. 

L'écrivain continua son chemin sans se retourner. Les larmes aux yeux, il se forçait à s'éloigner. Soudain, il se stoppa net. Bras ballants, il regardait fixement devant lui. Puis, il se retrourna brutalement et courut vers l'appartement qu'il venait de quitter. Il ouvrit la porte violemment et se précipita vers la chambre. Il pénétra rapidement dans la pièce. La porte claqua contre le mur faisant sursauter Kate. La jeune femme, assise sur son lit, se retourna précipitemment. Elle prononça le nom de l'écrivain avec soulagement. Ce dernier se jeta aux pieds du lit avant de saisir les mains de Kate dans les siennes. 

- Katherine Beckett, laissez-moi être vos jambes ! 

Le lieutenant le regarda sans comprendre. Ses grands yeux verts reflètaient l'incompréhension qui l'habitait. Castle remit doucement une mèche de cheveu de Kate derrière son oreille. Le jeune lieutenant garda un air totalement éberlué. 

- Kate, chuchota-t-il en déposant une main sur sa joue droite. Vous ne pouvez pas vous enfermer ainsi. 

Il caressa doucement sa joue de son pouce. 

- Laissez-moi être vos jambes, répéta-t-il. 

Kate posa sa main sur celle de l'écrivain toujours située sur sa joue. Elle tira son autre bras vers lle et lui fit signe de s'asseoir à ses côtés. Le consultant s'exécuta sans la quitter une seule seconde des yeux. La jeune femme triturait les draps de ses doigts. 

- Je n'ai rien à vous offrir, Castle, finit-elle par dire tout en continuant de fixer les draps du lit. 

L'écrivain la saisit délicatement par les épaules. 

- Katherine, murmura-t-il. Vous me donnez déjà tellement...

La jeune feme leva les yeux vers lui et se laissa lentement porter par l'océan de ses yeux. Puis, elle secoua doucement la tête en levant les yeux au ciel. 

- Je suis votre muse, je sais, soupira-t-elle en détournant la tête. 

Castle prit son visage entre ses mains et la fit le regarder. Leur regard s'accrochèrent. 

- Vous êtes tellement plus que cela, commença-t-il d'une voix douce et grave. 

Le lieutenant contemplait le regard azurée de l'écrivain. 

- Vous êtes ma raison de vivre, Kate, déclara Castle tendrement. 

Une douce chaleur se répendit dans le corps de Kate. 

- Que puis-je répondre à cela, dit-elle avec une voix dans laquelle transparaissait son émotion. 

- Dîtes oui, Kate, répondit-il pleine d'espoir. 

Le coeur de lieutenant et de son ombre si fidèle battait à l'unisson. Ces organes vitaux fonctionnaient à un ryhtnme élevé dû à leur angoisse et à leur émotion. Tous les deux avaient conscience qu'ils étaient sur le point de franchir une nouvelle étape dans leur relation. Ils se contemplaient silencieusement, se livrant à une de leur discussion muette qu'ils seraient les seuls capables de retranscrire. Finalement,  Kate saisit les mains de Castle. 

- Oui, murmura-t-elle en le regardant intensément. Oui. 

Ce simple mot était une victoire incroyable pour Castle qui se sentait pris d'un sentiment d'euphorie. Par cette simple syllabe, si lourde de sens, Katherine Beckett venait d'admettre qu'elle avait besoin de Castle à ses côtés. Mais elle venait également, peut-être sans le savoir, de pousser leur relation vers une autre direction. 

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Commentaires
C
hello,<br /> <br /> je découvre ton blog aujourd'hui et je m'y plonge avec grand plaisir...<br /> <br /> j'ai ce début de fic. bien écrit et agréable à lire.<br /> <br /> Caskett71
M
j'adore ta fic j'attend le suite a impatience
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